Les villes les plus vertes de France | l’Observatoire des villes vertes

Hortis – les responsables d’espaces nature en ville – et l’Unep – Les Entreprises du Paysage, dévoilent les résultats de la dernière enquête de l’Observatoire des villes vertes.

Au menu : les « jardins 2.0 », mêlant objets connectés et usages partagés. Entre expérimentations pionnières et mécénat aux associations de riverains impliquées dans des projets de jardins partagés*, les villes les plus vertes de France ne cessent d’innover pour développer et optimiser leurs espaces verts et répondre aux nouveaux usages urbains.

#Jardins 2.0 : connectés, solidaires et écolos

Selon Jean-Pierre Gueneau, président d’Hortis – les responsables d’espaces nature en ville – « Cette nouvelle vague de l’Observatoire montre que la dimension « connectée » des jardins, devient progressivement incontournable : les villes se servent de la technologie pour gérer et promouvoir leur patrimoine végétal et améliorer leur attractivité. Les bornes interactives et les animations pédagogiques sont des arguments pour associer plus fortement les citoyens aux jardins de leur quartier, créer du lien et de l’appartenance. Dans le même mouvement, les villes ont saisi l’importance de soutenir les projets de jardins partagés initiés par les habitants. Elles aident à leur mise en place, à l’entretien mais aussi à l’animation. »

Catherine Muller, présidente de l’Unep – Les Entreprises du Paysage, renchérit : « A bien y regarder, les jardins 2.0 sont souvent une manière de faire revivre les jardins botaniques traditionnels, en les modernisant et en tirant partie de leur double fonction : éducation et partage. Le jardin 2.0 est également plus écologique, grâce aux objets connectés permettant un diagnostic hydrique ou l’arrosage des végétaux suivi et programmé à distance. Ce sont des outils à associer à l’expertise des entreprises du paysage pour gérer au mieux les espaces verts et les rendre moins gourmands en ressources et en temps. »